Les peuples se disent prêts à chasser les représentants de la MONUSCO et l'Union Européenne en RDC



 «Si dans 72H, les matériels militaires achetés par le gouvernement congolais n’atterrissent pas sur notre sol, nous allons descendre dans la rue sur toute l’étendue du territoire national pour le départ de Jean Marc chataigner et Bintou Keïta », menacent les peuples congolais de quatre coins du pays.


Alors que l’Est de la République Démocratique du Congo est toujours menacé par des groupes armés, des transporteurs refusent d’acheminer au pays les matériels militaires achetés par le gouvernement congolais.


Suite à la révélation du gouvernement congolais sur le refus d'acheminement des matériels militaires achetés en Turquie, la cheffe de la Monusco et l'ambassadeur de l'Union Européenne menacés d'expulsion par le peuple congolais.


En effet, pour acheminer les matériels militaires en RDC, des transporteurs obligent une notification. En réaction, Le ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, réclame l’annulation par le Conseil de sécurité de l’obligation de cette notification.


Le chef de la diplomatie congolaise a révélé qu’un cas se produit maintenant.


« Le matériel militaire a été acheté et venait vers ici, mais en cours de route, le transporteur a dit non, ça ne peut pas arriver en RDC.», a-t-il fait savoir avant d’ajouter : « Il y’a des banques, des transporteurs et même ceux qui fabriquent des armes qui ne veulent pas traiter avec nous (RDC) parce qu’on dit , » vous êtes sur la liste noire » (…). Personne ne veut de problème avec les nations Unies ».


Selon le ministre des affaires étrangères, malgré que le gouvernement n’est plus sous embargo d’armes depuis 2018, « Il est exigé aux fournisseurs de la RDC de notifier au comité de sanction du Conseil de sécurité. »

Commentaires